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La police a détruit hier, samedi 9 juin 2012, des dizaines de pirogues stationnées le long du fleuve Chari. Ce fleuve, qui sépare la capitale tchadienne Ndjamena de la ville camerounaise de Koussérie, est une source d’insécurité, selon les autorités tchadiennes. Du coup, celles-ci ont interdit toute traversée ou villégiature sur les rives de ce cours d’eau qui traverse cette zone urbaine sur plusieurs kilomètres. Il convient de rappeler que plutôt dans la semaine, le ministre de l'intérieur avait fait une déclaration interdisant l'utilisation des pirogues pour le transport fluvial le long du fleuve chari entre Milézie au nord de la capitale et le pont de Ngueli . Ces mesures sont censés reduire le climat d'insécurité qui prevaut ces derniers temps dans la capitale tchadienne.